Pages

Saturday, 25 June 2011

#iran#press Zahra Jabari,feminist and activists,in iranian dungeon for being PMOI relative! No help from HR activists so far only in Iran

Call to save the life of political prisoner Zahra Jabbari, a relative of the residents of Camp Ashraf
Ms. Jabbari, suffering from a severe heart disease, is in critical condition after being transferred to a hospital designated for dangerous mental patients

The inhumane clerical regime has transferred Ms. Zahra Jabbari, 39, a political prisoner at Evin who suffers from severe rheumatic heart disease, to a hospital designated for dangerous mental patients in Tehran’s Amin Abad. She is being kept in extremely adverse conditions. The regime’s henchmen are refusing to give her even the clothing purchased for her by her family. The objective of this inhumane action is to demoralize her.
 
Ms. Jabbari, a mother of a four-year old, was arrested on September 18, 2009, and has been placed under some of the most severe pressures and tortures because five of her relatives, including her sister and two brothers are in Ashraf. During her show trials by the mullahs she had protested against the cruel tortures which had led to the pulling of her toe nails. The protest provoked the anger of the henchmen, to the extent that they prevented her access to medical treatment in order to take revenge for her action. For this reason, her condition is deteriorating day by day and she has lost her ability to move for months.
On March 21, she went into a coma and was on the brink of death as a result of being given the wrong medicine in prison and the refusal of the henchmen to provide her treatment.  She was eventually transferred to a hospital but was returned to prison shortly thereafter. Giving strong political prisoners wrong or harmful drugs is one of the well-known methods of the clerical regime to eliminate such political prisoners.
The Iranian Resistance calls on all international organizations, human rights organizations and other relevant United Nations institutions, particularly the High Commissioner for Human Rights and the special rapporteur for human rights in Iran, to enact immediate measures to end the suppression of families and investigate the situation of political prisoners in Iran.
Secretariat of the National Council of Resistance of Iran
June 24, 2011


Appel à sauver la prisonnière politique Zahra Jabari, parente d’Achrafiens

Mme Jabari, atteinte d’une grave maladie cardiaque, a été transférée dans un hôpital psychiatrique pour patients dangereux, et se trouve dans un état critique

Le régime inhumain des mollahs a transferé Mme Zahra Jabbari, 39 ans, prisonnière politique qui était incarcérée à Evine et qui souffre d’un  grave rhumatisme cardiaque, dans un hôpital psychiatrique réservé aux patients dangereux d’Amine Abad à Téhéran. Elle est internée dans des conditions extrêmement difficiles. Les gardes refusent même de lui remettre les vêtements achetés par sa famille. Ils cherchent à lui briser le moral.

Mme Jabbari a une fille de 4 ans. Arrêtée le 18 septembre 2009, elle a été placée sous des pressions et des tortures violentes à cause de cinq de ses parents, dont sa sœur et deux frères, qui se trouvent à Achraf. Durant la mise en scène qui lui a servi de procès, elle avait protesté contre les sévices cruels dont elle a été victime ; on lui a notamment arraché les ongles de ses doigts de pied. Cette protestation avait provoqué la colère de ses bourreaux, au point de lui bloquer l’accès à des soins médicaux pour se venger. C’est pour cette raison que son état de santé se dégrade de jour en jour et qu’elle a perdu la capacité de se déplacer depuis des mois.

Le 21 mars, elle est tombée dans le coma, frôlant la mort pour avoir reçu un mauvais médicament en prison et parce que ses gardiens la privent de soins médicaux. Elle avait finalement été hospitalisée mais renvoyée en prison peu après. Donner aux prisonniers politiques des mauvais médicaments ou des médicaments dangereux est une méthode bien connue du régime des mollahs pour les éliminer.

La Résistance iranienne appelle toutes les organisations internationales, de défense des droits humains et les instances concernées de l’ONU, comme le Haut commissariat aux droits de l’homme et le rapporteur spécial des droits de l’homme en Iran, à prendre des mesures immédiates pour mettre fin à la répression des familles d’Achrafiens et enquêter sur la situation des prisonniers politiques en Iran.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 24 juin 2011

0 comments:

Post a Comment